L’automatisation est devenue une véritable réponse qui permet de gérer efficacement les services informatiques devant l’évolution des applications. Par ailleurs, les activités dans le service informatique doivent aussi évoluer face aux challenges de la virtualisation et la performance de plus en plus accrue des ressources.
Conduire de manière assistée
Aujourd’hui, tout doit être automatisé et peut être automatisé. En effet, l’existence des applications et des matériels en tout genre qui usent du Cloud et d’autres technologies d’hébergement et de gestion de données permettent d’optimiser au maximum l’automatisation. En ce sens, des outils qui peuvent permettre d’accéder à des solutions d’automatisation comme l’ADDM ou l’application discovery and dependency mapping peuvent avoir une fonction favorable permettant de renforcer la configuration management database. Le résultat en serait, la détection des éléments à configurer et la mesure des conséquences qui pourraient amener au changement. On peut aussi faire intervenir des outils comme l’ITPA, et même le robotic process automation qui ont pour but de gérer les matériels, le personnel et les process à travers des workflows.
Des essentiels : le catalogue et data base
Si on fournit des solutions d’automatisation, cela ne vaut guère grand-chose si on ne les accompagne pas de catalogue qui permet d’assurer une performance au sein d’une entreprise et d’y associer des fournisseurs comme les hébergeurs Cloud, les prestataires de service en ligne, etc. Il est donc essentiel d’intégrer d’autres services à l’automatisation. Il y a aussi le big data qui doit permettre de collecter et de stocker le maximum de données et d’en faire le traitement de manière optimale. Par ailleurs, si dans le big data, l’ITMS est associé au Machine Learning qui permet d’étudier le comportement des consommateurs aux terminaux, le résultat n’en sera que plus probant.